Bien que le Pentagone ait tenté de réduire la vulnérabilité de ses connexions GPS militaires au cours des dernières années, notamment en testant les antennes anti-brouillage des récepteurs de navigation par satellite via l'armée de l'air en 2013, ces efforts n'ont montré qu'une sécurité de signal minimale. améliorer.

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Les agences de renseignement et de défense américaines ont subi des pertes importantes en raison d'attaques d'usurpation d'identité, y compris la perte embarrassante de son nouveau drone RQ-170 Sentry qui se trouvait en face de l'Iran en 2011. L'armée iranienne a déclaré que cela était dû à une distorsion du GPS. Causé par le signal. Les responsables et experts américains ont exprimé des doutes sur les affirmations de l’Iran, soulignant que les fréquences GPS militaires sont codées.

Mais d'autres personnes, y compris des experts russes, ont répliqué, soulignant que l'armée iranienne a peut-être simplement supprimé les signaux militaires. Après cela, les drones sont passés à des fréquences civiles alternatives et ont ensuite été repris. Depuis lors, l'Iran a procédé à la rétro-ingénierie du drone et décodé toutes les données de surveillance.

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Les inquiétudes du Pentagone concernant la vulnérabilité de son système GPS se sont accrues d’année en année. Les incidents de brouilleurs bloquant les signaux GPS se multiplient. L’automne dernier, Doug Wiltsie, directeur du Bureau des capacités rapides de l’armée américaine, a confirmé que la tâche principale du Pentagone était de se défendre contre les capacités de guerre électronique des «ennemis probables», dont la «Russie». Système de navigation américain. Le premier système de navigation non par satellite devrait être utilisé en 2018.


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